v. act. Mettre du fil, ou de la soye, &c. en escheveau, ou en peloton, de peur qu'il ne se mesle.

On le dit figurément & bassement de ceux qui parlent trop, & qui comptent beaucoup d'histoires ou de nouvelles en peu de temps. Cet homme en devide beaucoup, mais il ne faut pas croire à tout ce qu'il dit. Ce mot vient de dividere. Menage.

On dit au Manege, qu'un cheval devide, lors que maniant sur les voltes, ses espaules vont trop viste, & que la crouppe ne suit pas à proportion, ensorte qu'au lieu d'aller de deux pistes, il n'en marque qu'une.