v. act. Recoupper de nouveau un bois qui a été mal taillé, qui a été ebourgeonné par les bestiaux, ou qui est de mauvaise venuë. Il a fallu reseper ce bois jusqu'à la racine, parce qu'il avoit été mal couppé, qu'on en avoit abattu les plus beaux brins, parce que les bestiaux l'avoient trop endommagé. Les Maçons disent aussi reseper une muraille.