s. m. Piece de bois à demy consumée par le feu, soit qu'elle soit esteinte, soit qu'elle soit encore enflammée. Cet homme est un casanier qui garde les tisons. On dit d'un vieillard, qu'il crache sur les tisons, qu'il ne bouge du coin du feu. Ce mot vient de titio. Nicod.

On appelle par injure un meschant homme, un tison d'enfer. On dit aussi, qu'un homme a été le tison, le boutefeu qui a allumé une guerre civile, ou une querelle domestique.